Nos pièces naissent d’un travail d’écoute : matières, voix, gestes. La grammaire est simple — souffle, adresse, présence — pour atteindre une émotion nette, sans effets superflus.
Entre danse, théâtre et langues, nous cherchons une précision vivante : le texte se met en mouvement, le geste devient pensée. Un laboratoire, puis une écriture scénique, ajustée au contact du public.
Ici, l’épure n’est pas un style : c’est une éthique. Ne garder que ce qui est nécessaire. Le reste glisse. Une partie de ces recherches se prolonge dans nos ateliers et se partage lors des sorties publiques.